mardi 30 septembre 2014

Migraine: quels médicaments privilégier pour prévenir les crises






"Éviter si possible les facteurs déclencheurs des crises de migraine permet parfois de réduire leur fréquence", souligne la revue Prescrire.

Des facteurs connus sont notamment le manque de sommeil, le stress, le tabac, le café, le vin, le jeûne, les stimulations visuelles, les règles, la ménopause. De nombreux médicaments sont aussi l'origine de maux de tête d'allure migraineuse : dérivés nitrés, sildénafil (Viagra), contraceptifs hormonaux, et parfois l'usage continu des antalgiques.

Et, "certaines mesures non médicamenteuses sont parfois suffisantes : réduction de la consommation des antalgiques, relaxation, thérapies cognitives et comportementales dont la balance bénéfices-risques semble favorable".

"Quand les migraines demeurent fréquentes et invalidantes, le propranolol (Avlocardyl et autres génériques) est le médicament de premier choix en prévention des crises y compris les crises liées au cycle menstruel. Il diminue de moitié la fréquence des crises chez environ 60 % des patients. Ses effets indésirables sont principalement : troubles cardiaques, spasmes bronchiques, troubles neuropsychiques et digestifs."

L'acide valproïque (Micropakine) ou l'amitriptyline (Élavil, Laroxyl…), en monothérapie, "sont des options de second choix étant donné leurs balances bénéfices-risques".

"L'intérêt du traitement est à réévaluer régulièrement, y compris en tenant compte d'éventuelles évolutions de la situation : désir de grossesse, etc."

Rappelons que les neuroleptiques (antipsychotiques) flunarizine (Sibelium) et oxétorone (Nocertone) sont à éviter selon la revue. Ces médicaments figurent dans sa liste de 68 médicaments à éviter publiée en janvier 2014. Ils "ont une efficacité au mieux modeste (…) mais exposent à des troubles extrapyramidaux (neurologiques moteurs et musculaires), des troubles cardiaques et des prises de poids".








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 Repéré par : Le Vieux Loup

Maître Eric Dupond-Moretti : « [Faurisson,] cette saloperie qui nie les camps de concentration »





En janvier 2014, lors de l’émission télévisuelle de Thierry Ardisson « Salut les terriens », l’avocat pénaliste Eric Dupond-Moretti s’était dit prêt à défendre sous conditions Pétain, Hitler et Dieudonné mais, en revanche, il se refusait totalement à défendre Faurisson, « cette saloperie qui nie les camps de concentration ». Rendant compte de l’émission, Thierry de Cabarrus, chroniqueur politique, se pâmait d’admiration devant la force de conviction de l’avocat et la qualité de ses arguments qu’il jugeait dignes du réquisitoire d’un procureur. Il écrivait : 


Ce réquisitoire implacable en six points, le rappeur Rost a bien tenté de l’affaiblir en demandant, à juste titre, à Dupond-Moretti pourquoi il accepterait de défendre Pétain et Hitler, comme il l’avait déclaré en tout début d’émission, mais pas Dieudonné.

Ce à quoi l’avocat a répondu qu’il ne fallait « pas tout confondre ».



Tout criminel a droit à un défenseur, quelle que soit la monstruosité de sa faute, à condition que cet avocat conserve sa liberté de penser et ne soit pas contraint, par exemple, de faire l’apologie du nazisme (à la 13e minute). Dès lors, Dupond-Moretti pourrait évidemment être l’avocat de Dieudonné : « Je suis prêt à défendre Dieudonné s’il accepte l’idée qu’il s’est fourvoyé. »


Ce qui ne semble pas être le cas quand, dans un spectacle, le « comique » fait monter Faurisson sur scène, « cette saloperie qui nie les camps de concentration », ou quand un type en pyjama le rejoint « avec une étoile jaune » sur la poitrine (http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1124551-dieudonne-l-implacable-requisitoire-de-me-dupond-moretti-dans-salut-les-terriens.html).


Dans le blog qui porte son prénom, « Nicole » avait alors rétorqué :


Faurisson n’a jamais nié l’existence des camps de concentration, comme [Dupond-Moretti] le prétend, ce qui donne la mesure de son rapport à la réalité, mais [la réalité] des chambres à gaz homicides, ce qui est tout autre, quand on sait qu’un spécialiste comme Fred Leuchter dit qu’elles sont TECHNIQUEMENT impossibles ! » [Le blog de Nicole, http://www.les-attentats-du-11-septembre-vus-par-une-conspirationniste.com/article-dupont-moretti-me-donne-la-nausee-122024266.html].


Du coup, en ce 28 août, sur les antennes d’Europe 1, changeant son fusil d’épaule, Dupond-Moretti modifiait sa formulation et lançait : « J’aurais pu défendre Faurisson à la condition qu’il ne me demande pas de dire que les chambres à gaz n’ont pas existé » (http://www.europe1.fr/france/me-dupond-moretti-aucune-lecon-n-a-ete-tiree-de-l-affaire-d-outreau-2214817, dans le dernier segment, à 2’59”).


Dupond-Moretti ne fait là qu’illustrer une tradition que respectent tant de ses confrères du barreau français. Pour ma part, j’ai observé le même comportement chez Me Jacques Isorni, Me Jacques Vergès-le-parfait-casseur-d’assiettes, Me Gilles-Jean Portejoie, Me Gilbert Collard (député du Front national) et aussi quelques autres avocats dits d’extrême droite qui, dans leur défense de Barbie, de Touvier, de Papon, ont joué la connivence avec l’accusation. Au lieu de plaider : « Mon client n’a encouru aucune responsabilité dans le crime des crimes, celui de l’envoi de juifs dans des camps d’extermination ; cela pour la bonne raison que de tels camps et une telle politique d’extermination n’ont jamais existé », ils ont préféré faire chorus avec les menteurs ou les crédules, affirmant ou laissant affirmer la réalité de tels crimes ou de tels camps et ils se sont contentés de plaider que leur client n’avait encouru aucune responsabilité personnelle en l’affaire. Telle a été en somme l’attitude des avocats allemands durant le procès de Nuremberg et tant d’autres procès tout aussi dégradants. Pour ces gens, un tabou ne se heurte pas de front ; il se respecte, quitte à rester sourd à la voix de sa propre conscience. 


Lors de mes diverses gardes à vue, les policiers ne sont jamais parvenus à obtenir qu’un avocat accepte de venir m’assister comme la loi, pourtant, le prévoit. Tant s’est ancrée la conviction que, par prudence, mieux vaut ne pas « tente[r] de briser ce tabou qui protège notre société » (ces mots sont de T. de Cabarrus résumant la pensée de Dupond-Moretti au moment où ce dernier répond au rappeur Rost : voyez le point 3 à http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1124551-dieudonne-l-implacable-requisitoire-de-me-dupond-moretti-dans-salut-les-terriens.html).


Chez nos brillants avocats ce comportement de refus ou de fuite peut s’expliquer par la répugnance qu’inspire généralement mon nom chez nos « élites » ainsi que par la peur omniprésente que suscitent à la fois les organisations juives, les grands médias, les pouvoirs publics et la loi Fabius-Gayssot. Ce même comportement peut aussi être dû à une contingence qu’ignore le grand public mais que connaissent bien les gens du métier qui ont assisté à mes propres procès ou qui en ont entendu parler par leurs confrères : j’attends de mes avocats qu’ils ne cherchent pas à arrondir les angles, à entrer si peu que ce soit dans les concessions d’usage, à se faire bien voir de la basoche ; ils me doivent et se doivent de parler sans crainte, d’appeler un fripon un fripon, de « porter la plume dans la plaie » (Albert Londres), de montrer, en s’aidant de la pléthore d’arguments que je leur prépare, que ces histoires d’« Holocauste » ou de « Shoah », ces chambragazeries, ces diableries ne sont que d’atroces inventions d’un autre âge nées d’une propagande de guerre et de haine qui n’a que trop duré. D’ailleurs, mille signes en attestent, le Grand Mensonge est déjà mort sur le plan strictement historique et scientifique et c’est précisément pour détourner notre attention du fiasco des historiens proprement dits que le tam-tam holocaustique se fait plus bruyant que jamais dans le monde des grands médias, du spectacle et de la sacro-sainte « Mémoire (juive) ».


Un avocat, s’il se prétend un homme ou une femme de caractère, se doit de ne composer ni avec le mensonge historique ni avec ceux qui, avocats, procureurs ou magistrats, d’une manière ou d’une autre se font, peu ou prou, les défenseurs dudit mensonge. 


PS : Quand Dupond-Moretti se lâche plus complètement, il peut, d’aventure, dire au sujet de Dieudonné : « S’il me demande de dire que la Shoah n’a pas existé, s’il me demande de chanter Shoananas, s’il me demande de faire des quenelles, s’il me demande de citer Faurisson comme témoin de moralité, hors de question que je le fasse. Je le défendrai d’autant plus volontiers que je sais qu’il a de l’argent ». La dernière phrase s’accompagne d’un sourire entendu mais elle est à prendre au sérieux : l’avocat de Bernard Tapie y parle d’or ; son œil, qu’il a terne, s’allume ; sa face, qu’il a grise, s’anime : Sa Suffisance Dupond, déjà rebondie, prend alors toutes ses aises (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-316937-eric-dupond-moretti-assure-qu-il-defendrait-volontiers-dieudonne-regardez.html).


NB : Dans sa livraison de septembre 2014, la revue L’Histoire (de Michel Winock) publie un article, particulièrement nul et vide, d’Olivier Thomas (p. 34). Intitulé « Décrypter la haine », il est présenté dans les termes suivants : « Médias / Michaël Prazan et Valérie Igounet expliquent, dans un documentaire pédagogique, ce qu’est le négationnisme ». Ce documentaire, Les Faussaires de l’histoire, sera projeté le 28 septembre 2014 sur France 5. A ne pas manquer !



2 septembre 2014





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Repéré par : Le Vieux Loup

Qui aura la peau des hackers russes ?





Le gouvernement russe a décidé de s’attaquer sérieusement aux hackers : prochainement, un nouveau Centre de lutte contre les cyber-menaces verra le jour en Russie. La politique nationale en matière de sécurité de l’information changera également. Toutefois, les experts craignent que ces mesures s’avèrent insuffisantes.



La Russie envisage de créer un Centre de lutte contre les cyber-menaces qui sera chargé de combattre différents types d’attaques informatiques, a annoncé le 23 septembre Nikolaï Bordiouja, secrétaire général de l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) qui regroupe plusieurs pays de l’ancien bloc soviétique, notamment le Kazakhstan, l’Arménie, et la Biélorussie. Par ailleurs, le Conseil de sécurité s’apprête à adopter un nouveau document intitulé « Fondements de la politique nationale en matière de formation de la culture de la sécurité de l’information ».

Il semblerait que le gouvernement ait décidé de s’attaquer sérieusement aux hackers russes. Ce sont eux qui, selon les informations du FBI, seraient impliqués dans le piratage du réseau informatique de JP Morgan Chase et d’autres banques américaines en août dernier. Plusieurs gigaoctets de données des clients ont été perdus à cause de la cyber-attaque. Le FBI accuse le Kremlin de soutenir les hackers pour se venger des sanctions imposées à la Russie en raison de ses agissements en Ukraine.

En réalité, le Kremlin lui-même ne sait pas quoi faire avec les hackers, leurs petites cyber-vilénies et leurs graves délits financiers. D’après la société Symantec, le montant global des pertes liées aux cyber-attaques en Russie s’élève à environ 1,18 milliard d’euros en 2013. En nombre de victimes de cyber-crimes, le pays arrive en première position au monde (85%), devant la Chine (77%). En août, les hackers ont clairement dépassé les bornes quand ils ont piraté de compte Twitter du premier ministre russe Dmitri Medvedev et ont déclaré en son nom qu’il quittait le poste pour devenir un « photographe indépendant ».


Qui luttera contre les cybercriminels ?



Les experts interrogés par RBTH redoutent que les mesures adoptées par le gouvernement soient insuffisantes, car le problème est complexe.  

Ilya Satchkov, fondateur et directeur général de la compagnie russe Group-IB, spécialisée dans la recherche et la lutte contre la cybercriminalité, estime qu’il faut apporter des amendements à la législation. Alexeï Loukatski, consultant professionnel spécialisé dans la sécurité de l’information chez Cisco Systems, définit ainsi sa vision du problème : « Certains développeurs de logiciels ne disposent souvent pas eux-mêmes d’un niveau suffisant de connaissances en matière de sécurité de l’information. Par conséquent, les produits qu’ils créent sont insuffisamment systématisés et ont un faible niveau de protection ».

D’ailleurs, les membres du groupe dénommé Anonymous International, qui a piraté le compte Twitter de Dmitri Medvedev, l’ont fait à partir de son iPhone. « On peut se servir d’un iPhone, mais on ne peut pas y conserver ses données personnelles », ont annoncé les malfaiteurs.


Argent facile



Un autre problème : les hackers russophones, contrairement à leurs homologues étrangers, peuvent facilement encaisser l’argent volé : « En Europe, aux Etats-Unis, dans les pays asiatiques, il n’est pas aussi simple de retirer de l’argent sur les comptes bancaires et autres systèmes de paiement », explique Ilya Satchkov.

Ainsi, récemment, les spécialistes du Group-IB ont identifié un hacker russe portant le pseudonyme Hermès, qui a contaminé des millions d’ordinateurs équipés d’outils de paiement et de systèmes de banque en ligne dans tout l’espace post-soviétique.

D’ailleurs, les cybercriminels russes ne sont pas tous originaires du pays. Ce sont, généralement, des personnes russophones originaires de l’espace post-soviétique. Après l’effondrement de l’URSS, de nombreux spécialistes informatiques se sont retrouvés sans emploi et sont devenus hackers.

Ces derniers temps, le niveau de qualification des hackers est en baisse, estiment les experts. « Avant, les hackers russophones étaient forts en modélisation et en algorithmes des cyber-crimes, mais les criminels actuels ne sont pas si intelligents. De nombreux forums, publications et documents expliquant comment commettre tel ou tel cyber-crime sont librement disponibles sur Internet, ils s’en servent », raconte Ilya Satchkov.


Une cybercriminalité sans nationalité ?



Alexandre Vourasko, directeur adjoint du département K du ministère de l’Intérieur en charge de la cybercriminalité, nous a expliqué que les cybercriminels isolés sont petit à petit évincés du marché de la cybercriminalité par des groupes clandestins, bien organisés et divisés en branches, qui réunissent des personnes de différentes régions de Russie et d’autres pays du monde. Les membres de telles communautés criminelles ont leur propre spécialisation, ce qui rend leur activité plus efficace. Souvent, dans ce type de groupes, les cybercriminels ne se connaissent pas personnellement.

Vourasko explique que le département K cherche à transmettre les informations aux forces de l’ordre du pays dans lequel se trouve le malfaiteur, et non la victime. Cela permet d’éviter de mener l’enquête sur le territoire d’un État étranger et d’empiéter sur son espace d’information. Le département K compte déjà plusieurs exemples d’utilisation réussie de ce schéma de travail avec les forces de l’ordre de différents pays, notamment la Grande-Bretagne, l’Allemagne et les Etats-Unis.

Les hackers russes utilisent de plus en plus les plateformes techniques étrangères pour créer et administrer des ressources Web, échanger des informations et recruter de nouveaux membres. « Dans ce contexte, la décriminalisation du cyberespace semble inefficace sans mettre en place des relations de travail étroites avec les partenaires étrangers et sans échange d’informations opérationnelles », estime M. Vourasko.








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 Repéré par : Le Vieux Loup

Le Jeu de la mort - Documentaire Incroyable




Le Jeu de la mort est un documentaire écrit par Christophe Nick, réalisé par Thomas Bornot et Gilles Amado et coproduit par France Télévisions et la Radio télévision suisse en 2009. Diffusé pour la première fois en mars 2010, il met en scène un faux jeu télévisé (La Zone Xtrême) durant lequel un candidat doit envoyer des décharges électriques de plus en plus fortes à un autre candidat, jusqu'à des tensions pouvant entraîner la mort. La mise en scène reproduit l'expérience de Milgram réalisée initialement aux États-Unis dans les années 1960 pour étudier l'influence de l'autorité sur l'obéissance : les décharges électriques sont fictives, un acteur feignant de les subir, et l'objectif est de tester la capacité à désobéir du candidat qui inflige ce traitement et qui n'est pas au courant de l'expérience. La différence notable avec l'expérience originelle est que l'autorité scientifique est remplacée par une présentatrice de télévision, Tania Young.


Présentation et suites du documentaire 



Le producteur de l'émission, Christophe Nick, présente son documentaire comme une critique de la télé réalité. Pour sa part, la directrice des magazines et documentaires de France 2, Patricia Boutinard-Rouelle, déclare que la chaîne a « toujours refusé la télé-réalité, mais là, c'est intéressant de tester les limites d'un genre, de jouer avec cet outil ».

Jean-Léon Beauvois a assuré la direction scientifique de l'émission et a publié, notamment avec Didier Courbet et Dominique Oberlé plusieurs articles sur cette expérience de téléréalité (dans European Review of Applied Psychology (2012, no 62) qui en analyse les résultats et les replace dans le contexte social.

La première du documentaire est diffusée sur TSR2 le 12 mars 2010 suivie d'un débat le 16 mars 2010 dans Infrarouge (émission de télévision suisse), puis le 17 mars 2010 sur France 2 en première partie de soirée également suivie d'un débat en plateau, présenté par Christophe Hondelatte, en présence de deux des candidats (l'un étant allé jusqu'au bout, l'autre – une candidate – ayant quitté le jeu avant la fin), de Christophe Nick, d'Alexandre Lacroix (rédacteur en chef de Philosophie Magazine, partenaire du documentaire), de Fabrice d'Almeida (historien), de Claude Halmos (psychanalyste), de Géraldine Muhlmann (agrégée de philosophie et présentatrice télévisée), et de trois journalistes spécialisés dans l'analyse de la télévision (David Abiker, Jean-Marc Morandini et Isabelle Morini-Bosc).


Résultats



Bien que les participants aient été informés qu'ils ne gagneraient aucune somme d'argent puisqu'ils étaient censés participer à une émission test, l'autorité du contexte télévisuel et de l'animatrice amène les participants à se soumettre. Selon les premières estimations, le taux d'obéissance est de 81 % ; le documentaire compare ce résultat aux 62,5 % obtenus lors de l'expérience originale, mais oublie de préciser que plusieurs reproductions de l'expérience, aux États-Unis ou en Europe, ont donné des taux supérieurs à 80 %.

De plus, les différences entre l'expérience originale de Milgram et La Zone Xtrême limitent la comparaison des résultats. Les différences principales entre les deux versions sont les suivantes :
  • Les participants reçoivent 5 injonctions dans la version de France Télévisions au lieu de 4 dans la version de Milgram, dont :
    • L'injonction « nous assumons toutes les conséquences », présente seulement dans des variantes de l'expérience originale
    • La présence d'un public (qui intervient à la cinquième injonction) ;
  • La mise en jeu fictive d'une somme d'argent (même si les candidats étaient avertis qu'ils ne gagneraient rien, l'argent est une raison invoquée dans la quatrième injonction) ;
  • Le rôle de la télévision (qui a notamment incité 15 % des candidats de La Zone Xtrême à dire qu'ils avaient considéré qu'il était impossible que la télévision laisse souffrir un être humain).

Critiques 



Si plusieurs critiques ont salué la remise au goût du jour de l'expérience de Milgram, beaucoup ont dénoncé de nombreux biais du documentaire, particulièrement dans les commentaires et les conclusions tirées :
  • Critiques sur la constitution de l'échantillon :
    • On a parfois dénoncé un biais sur la constitution de l'échantillon type, considéré comme peu représentatif, et orienté lorsqu'on choisit 80 personnes sur 13 000, ce à quoi Jean-Léon Beauvois, caution scientifique de l'expérience, répond que la sélection était conforme aux enquêtes et recrutements pour test de produit.
    • De même, le fait que les participants se soient portés volontaires pour « participer à la mise au point d’un jeu de télévision » indiquerait qu'ils sont sensibles à l'aura de la télévision, ce qui pourrait biaiser les résultats de l'expérience.
  • Critiques sur les conclusions ou la validité scientifique de l'expérience :
    • Le parallèle entre télévision et totalitarisme a généralement été rejeté ; de façon plus générale, la conclusion que la télévision est la cause de ces 80 % d'obéissance a été remis en cause. Jean-Léon Beauvois explique qu'il faut comprendre totalitarisme dans le sens absence de pluralisme ou diversité.
    • Si l'expérience a montré que la télé avait un pouvoir sur les candidats, elle n'a en rien montré un pouvoir sur les téléspectateurs, pourtant la thèse du reportage.
    • Le fait de rassurer les candidats avant même qu'ils aient quitté le plateau empêcherait un debriefing serein comme dans le cas de l'expérience originale.
    • Les nombreuses différences entre les deux expériences, ainsi que leurs possibles implications, ont souvent été soulevées. Pour Michel Terestchenko et Laurent Bègue, l'expérience de Nick ajoute des sources d'influences qui ne permettent pas une comparaison rigoureuse avec celle de Milgram.
  • Critiques sur l'éthique de l'expérience et du programme :
    • Il est recommandé de ne plus se livrer à l'expérience de Milgram par l'Association américaine de psychologie, à cause de l'énorme stress engendré par les sujets. La souffrance subie par les candidats a été reprochée au programme. Jean-Léon Beauvois écarte ces critiques en expliquant qu'on ne peut reprocher aux chercheurs de faire ce que « chefs et etharques [font régulièrement] avec leurs subordonnés, leurs secrétaires et leurs enfants ».
    • L'orientation de l'argumentation contre les chaînes privées a soulevé des soupçons de conflit d'intérêt, la critique venant du service public.
    • Le documentaire prétend dénoncer la télé-réalité mais utiliserait les mêmes ressorts : buzz, voyeurisme, souffrance des candidats.

Dépôt de plainte



Une revue critique articulant les aspects méthodologiques et éthiques a été publiée en 2011 dans les Cahiers Internationaux de Psychologie Sociale.

Deux députés, Paul Quilès et Marie-Noëlle Lienemann, soutenus par Vincent Peillon ont décidé de porter plainte contre les auteurs du documentaire ainsi que le directeur des programmes de France Télévision, pour « «provocation directe à la commission d'atteintes volontaires à la vie et à l'intégrité de la personne» réprimée par la loi de 1881 sur la liberté de la presse ». Christophe Nick invoque d'abord l'importance de faire connaître l'expérience de Milgram, notamment aux jeunes générations, explique que s'il faut débattre du documentaire, il est en colère devant le dépôt de plainte. « Mettre à jour les mécanismes d’emprise sur les individus qu’un système aussi universel que la télévision peut sécréter DEVAIT être montré, démontré, analysé. »


Controverse concernant le débat 



Pendant le débat suivant l'émission, Christophe Hondelatte s'en prend violemment à Alexandre Lacroix, rédacteur en chef de Philosophie Magazine. Lacroix publie une tribune dans Libération, où il invoque une crise d'autorité de Hondelatte, qui refuse qu'on mette en cause son pouvoir ; Hondelatte, lui, accuse Lacroix d'avoir fait une diatribe anti-télévision ; les témoins directs, David Abiker et Morandini, rapportent tous deux une vision plus nuancée de la scène.

La polémique étant partie de la révélation de l'homosexualité d'un participant de l'émission, révélation non consentie et opérée par Hondelatte, ledit participant, interviewé dans Têtu, relativise à son tour l'intervention d'Hondelatte, et reproche à Alexandre Lacroix d'avoir publié son article dans Libération contre son gré, médiatisant ainsi toute l'affaire.

Documentaire Le jeu de la mort (vidéo 1:30')










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Repéré par : Le Vieux Loup

Des colons israéliens s’emparent de 25 appartements à Jérusalem-Est





Des colons israéliens se sont emparés de force mardi de 25 appartements dans un quartier de Jérusalem-Est annexée, ont affirmé habitants et dirigeants palestiniens tandis que les nouveaux occupants prétendaient avoir acquis légalement ces logements.
 
Des heurts ont ensuite opposé Palestiniens et colons dans ce quartier de Silwan, qui est régulièrement le théâtre d'affrontements avec des colons de plus en plus nombreux dans ce secteur, sensible car limitrophe de la Vieille Ville, où se trouve l'Esplanade des mosquées.

Mohammed al-Khayat a affirmé à l'AFP que des colons s'étaient introduits à l'aube dans trois appartements vacants appartenant à sa famille. "Ils ont brisé les serrures et en ont installé de nouvelles", a-t-il expliqué.

La police israélienne a indiqué que des heurts avaient ensuite éclaté lorsqu'un Palestinien a tenté d'entrer dans l'un des immeubles, achetés selon ses prétentions par Elad, une organisation extrémiste israélienne dont le but déclaré est de renforcer la présence juive dans les quartiers palestiniens de Jérusalem-Est.

Elad a toutefois affirmé à l'AFP qu'elle ne possédait pas ces appartements, tout en reconnaissant que plusieurs de ses membres faisaient partie des "volontaires" qui se sont installés mardi.

Selon Elad, c'est la société Kendall Finance qui a acheté ces appartements aux Palestiniens.

Kendall Finance est un prête-nom de l'organisation qui milite pour la judaïsation de Jérusalem, a accusé Mohammed Dahla, l'avocat des habitants palestiniens, qui selon lui, n'ont jamais vendu leurs appartements.

Le porte-parole de la présidence palestinienne Nabil Abou Roudeina a condamné "avec force l'occupation par des colons des immeubles de Silwan près de la mosquée d'Al-Aqsa avec le soutien de l'armée israélienne", selon des propos rapportés par l'agence officielle Wafa.

M. Abou Roudeina a aussi dénoncé des "agressions répétées contre la mosquée Al-Aqsa", après que les forces de l'ordre israéliennes sont entrées à plusieurs reprises sur l'esplanade où se dresse ce site.

Pour Saëb Erakat, un haut dirigeant palestinien, les colons ont été encouragés par le discours lundi à l'ONU du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

"Ils ont traduit en acte le discours de Netanyahu en s'appropriant ces sept immeubles à Jérusalem-Est occupée", a-t-il accusé.

M. Netanyahu avait déclaré lundi que les colons n'étaient "pas des occupants sur la terre d'Israël".








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Réseau social: Ello, l'«anti-Facebook» qui monte





WEB - Ce site séduit notamment les créatifs et la communauté LGBT...



Pollution, Ello dit non. Ce réseau social au design minimaliste, qui mise sur l'absence de pub pour mettre en valeur les contenus, agite le Web depuis une semaine. Reste à savoir s'il pourra grandir sans se compromettre et ne pas faire pschitt, comme Diaspora.

Pour l'instant, Ello n'est accessible que sur invitation. Il faut donc connaître un membre ou tenter sa chance du côté de Twitter. Officiellement, car le réseau n'est qu'en version bêta. Dans la pratique, jouer sur un accès exclusif pour créer le buzz fonctionne toujours, comme l'a prouvé récemment le fabricant de smartphone OnePlus.

«Vous n'êtes pas le produit»


«Votre réseau social appartient aux annonceurs publicitaires. Chaque post que vous partagez, chaque ami que vous avez, chaque lien que vous suivez est enregistré et converti en données. Vous êtes le produit», écrit Ello dans son introduction. Le site promet une approche différente. «Nous croyons en un réseau social qui vous donne du pouvoir. Un endroit pour connecter et créer. Vous n'êtes pas le produit.»

Le site est-il à la hauteur de son credo idéaliste? Pour l'instant, oui. Epuré à l'extrême, il trouve le juste milieu entre tumblr et Google Plus, ce qui explique sa popularité montante chez les designers et les artistes. A côté, Facebook ressemble à un désagréable fouillis digne de MySpace à la grande époque. Ello a également profité du buzz négatif contre Facebook ces derniers semaines, rappelant qu'il acceptait les pseudos, un point particulièrement sensible pour la communauté LGBT. Les contenus «pornographiques» et NSFW («not safe for work») sont les bienvenus, dans une certaine limite, confie encore l'un des fondateurs à Betabeat.

Le défi de la croissance


Facebook, Instagram, Twitter... Tout le monde jure à ses débuts qu'il ne proposera pas de pub. C'est en général vrai jusqu'à ce que les financiers exigent un retour sur investissement. La semaine dernière, les fans de la première heure ont déchanté en apprenant qu'Ello avait levé 435.000 dollars auprès de venture capitalists (VC, ou investisseurs en capital-risque).

Ello s'est défendu, expliquant que la transaction n'avait jamais été un secret. Il promet, peut-être naïvement, que ses investisseurs, qui n'ont pas de lien avec la Silicon Valley, sont là pour le long terme et partagent sa philosophie. A la place, le réseau mise sur le «freemium», avec des fonctionnalités supplémentaires payantes (comptes multiples, design sur mesure etc), sur le modèle de Vimeo. Il y a aussi WhatsApp, qui a réussi à survivre sans publicité, avant de se faire racheter par... Facebook.




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lundi 29 septembre 2014

Les fesses d'une joueuse de tennis espagnole agitent la toile




Le fessier de Garbine Muguruza, la joueuse espagnole qui avait fait sensation à Roland-Garros en humiliant Serena Williams (6-2 6-2), fait actuellement beaucoup parler de lui sur les réseaux sociaux. La jeune femme de 20 ans a été la cible de l'objectif d'un photographe un peu coquin, alors qu'elle se préparait à servir. Le cliché a été pris lors de sa demi-finale contre Caroline Wozniacki à Tokyo (6-4 2-6 6-2). Muguruza, dotée de courbes avantageuses, est l'une des étoiles montantes du tennis mondial et pointe actuellement à la 22e place au classement WTA. 








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Auchan retire des rayons une mitraillette aux symboles de l’islam





Un croissant et une étoile sur une mitraillette en plastique : voilà ce qui a poussé Auchan à retirer de la vente ce jouet, proposé en promotion dans le dernier catalogue de l’enseigne de distribution. L’information est révélée par le Nouvel Observateur ce lundi. Dans leur « top 100 » des produits à acheter, les magasins mettaient en avant une Kalachnikov AK-47, vendue 1 euro. Mais les deux symboles, situés au-dessus de la gâchette et généralement associés à l’Islam et aux pays musulmans, ont déclenché des réactions vives sur les réseaux sociaux.

Contactée par l’hebdomadaire, l’enseigne Auchan se dit « désolée » et assure avoir retiré la mitraillette de la vente.








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Thom Yorke (Radiohead) propose le premier album payant sur BitTorrent





Thom Yorke innove à nouveau en matière de distribution de musique. Pour son premier album solo en huit ans, « Tomorrow's Modern Boxes », le chanteur et leader de Radiohead propose le premier fichier torrent payant.

Après avoir popularisé l'album à prix libre avec Radiohead et « In Rainbows » en 2007, Thom Yorke est à nouveau l'auteur d'une première mondiale en matière de musique dématérialisée. Cette fois il s'est associé à BitTorrent, la société assurant la promotion du controversé protocole d'échange de fichiers, pour distribuer le premier BitTorrent Bundle payant.

Les BitTorrent Bundles sont pour rappel des torrents officiels, référencés par les artistes sur un site dédié, qu'on obtient en échange d'une modeste contrepartie. Des artistes de renommée mondiale tels que Diplo, Madonna ou Moby ont proposés des contenus par ce biais, mais jusqu'à présent la compensation était quelque chose comme le partage de son adresse email et l'inscription à une newsletter.

Le BitTorrent Bundle de « Tomorrow's Modern Boxes », nouvel album incluant 8 morceaux et 1 vidéo, est quant à lui le premier à s'échanger contre de la monnaie sonnante et trébuchante. Il est en l'occurrence vendu 6 dollars, ou 4,73 euros, payables par carte bancaire, PayPal, mais pas (encore) via Bitcoin. BitTorrent encaisse une commission de 10 %.







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L’acteur du Seigneur des Anneaux, Viggo Mortensen, condamne avec force "les actions terroristes" d’Israël





Artiste éclectique qui a plusieurs cordes à son arc, mais aussi le courage de ses opinions à contre-courant de la doxa dominante, l’Américano-danois Viggo Mortensen, qui se révéla au public dans la trilogie du Seigneur des Anneaux sous les traits d’Aragorn, n’est pas homme à hurler avec les loups sur la scène hollywoodienne de l’hypocrisie, de la couardise, et de l’anti-palestinisme primaire et farouche. 

Une scène où rien ne vaut l’indignation à géométrie variable pour conserver son nom en haut de l’affiche et être dans les petits papiers des magnats pro-sionistes qui y font la pluie et le beau temps…

Le célèbre comédien, aux multiples talents, à la fois poète, musicien, photographe, peintre et éditeur, n’a guère apprécié la dramatisation outrancière du parti pris pro-palestinien des deux stars espagnoles, Pénélope Cruz et son mari Javier Bardem, mises au ban de l'usine à fabriquer des blockbusters mais aussi à dresser des bûchers, et accusées d’antisémitisme pour avoir dénoncé, horrifiées, le génocide estival commis contre les Gazaouis.

Il n’a pas échappé à Viggo Mortensen, ce preux chevalier épris de justice, que cette dramatisation a été savamment mise en scène par la grande famille du cinéma américain qui, comme en France, n’est jamais plus soudée que lorsqu’elle fait bloc derrière Israël, se désolidarisant totalement de son attachement indéfectible au camp de la tyrannie et de la barbarie. 

Fustigeant le règne de la terreur d’Israël, ainsi que la perversité de son double jeu devant les médias occidentaux, l’acteur s’est lancé dans un réquisitoire implacable contre un Etat criminel que ses fervents ambassadeurs continuent de parer de toutes les vertus, crimes de guerre après crimes contre l'humanité.

"Aucun média ne semble avoir un problème avec ceux qui condamnent le terrorisme palestinien, mais si quelqu'un ose exprimer des critiques concernant les actions terroristes menées par le gouvernement israélien, il se voit immédiatement injurié et censuré" (I24 news), s’est-il indigné dans une interview fracassante accordée au site Daily Besat. "Malheureusement, les Etats-Unis et les autres gouvernements influents persistent à laisser une très grande marge de manoeuvre à Israël vis-à-vis des Palestiniens, très peu de choses ont changé depuis ces cinq dernières années" (I24 news) a-t-il poursuivi en enfonçant le clou.

Il n’est pas né celui qui fera taire Viggo Mortensen, l’empêcheur de museler la critique d’Israël en rond, dans une capitale du septième art qui fait et défait les carrières sous des sunlights aveuglants. Celui-ci persiste et signe après avoir paraphé la Déclaration de Toronto avec dix autres artistes, afin de protester contre la promotion indécente de la ville de Tel Aviv faite par le Festival du film de Toronto, alors même qu’Israël dévastait Gaza sous une pluie de bombes et massacrait sa population civile dans une immense mare de sang devant les caméras du monde entier.




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Voici à quoi s’apparente le goût de la viande humaine… selon ses fins connaisseurs






Deux chefs londoniens ont tenté d'élaborer cette semaine un hamburger qui aurait le goût de la viande humaine. « Mais à quoi ressemble vraiment la saveur de la viande humaine ? », s’interroge le journal The Independent.



Le cannibalisme est bien entendu illégal et les seuls témoignages « culinaires » que nous ne possédons sont ceux de meurtriers ou d’explorateurs morts depuis longtemps.

Voici une compilation des notes de dégustation des « mangeurs d’hommes » les plus connus :

« La chair de l’homme est délicieuse. Son goût est meilleur que celui du poisson ou de la viande de porc. »

- Alexander Pearce, un prisonnier irlandais du 19e siècle tristement célèbre pour avoir dévoré ses compagnons de fuite lors de leur évasion de la prison coloniale de Macquarie en Tasmanie.

« J’ai fait sauter le steak de Bernd avec du sel, du poivre, de l’ail et de la muscade. Je l’ai mangé accompagné de croquettes, de choux de Bruxelles et avec une sauce au poivre vert. Sa chair avait un goût de porc, un peu plus amer et plus fort. Elle est assez bonne. »

- Le cannibale allemand Armin Meiwes dans une interview en 2007.

« Cela fond dans ma bouche comme le thon cru d’un restaurant de sushi. »

Issei Sagawa, le « Japonais cannibale » alors qu’il avalait une bouchée de sa victime.

« Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne pièce de veau à pleine maturité qu'à mon sens, aucune personne dotée d’un palais ordinaire et d’une sensibilité normale n’aurait pu faire la différence. »

William Buehler Seabrook, un journaliste américain devenu explorateur cannibale ayant mangé un steak de fesses humaines lors d’un voyage en Afrique de l’Ouest.

« C’était si doux. »

Le modèle égyptien Omaima Nelson à propos des côtes de son mari.

« Je ne mange que les parties avec des muscles, principalement les cuisses et les mollets, qui sont mes favorites. Je prépare un ragoût fort savoureux avec la langue et j'utilise les yeux pour faire une soupe saine et nutritive. »
 
- Dorangel Vargas, tueur en série vénézuélien connu sous le nom «Hannibal Lecter des Andes». 


« La poitrine de l'homme ... est la viande la plus douce que j’aie jamais goûtée. »
 
- Alferd Packer, un chercheur d’or américain Alferd Packer accusé de cannibalisme au cours de l'hiver 1873-1874.

La viande humaine se situe donc entre le veau et steak de porc ou alors vous préférerez peut-être vous fier au robot NEC food-testing qui considère que le goût de notre chaire ressemble à celui du prosciutto.





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|Vidéo] Complément d'enquête du 25/09 "Les Juifs de France ont-ils raison d'avoir peur ?"





"Les Juifs de France ont-ils raison d'avoir peur ?"










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Pour vendre du Coca-Cola, il faut écrire un nom dessus !





Peut-être n'étiez-vous pas au courant, mais les ventes de Coca-Cola sont loin d'être au beau fixe. A dire vrai, elle sont en chute depuis près de 11 années consécutives. La solution pour palier cette situation ? Il fallait simplement mettre des noms sur les bouteilles.
11 ans ! 11 ans de pertes pour la marque qui ne lésine pourtant pas sur la communication ! Et si finalement la solution était des plus simples ? Les bouteilles personnalisables que l’on trouvait un peu partout ont rencontré un succès fulgurant, et c’est bel et bien la campagne « Partagez un Coca Cola » a permis ce retournement de situation. Curiosité ou mégalomanie, chacun verra midi à sa porte, il n’empêche que la « génération Y » a été séduite.

Ladite campagne aura su galvaniser les foules et effectivement, elle aura largement fait le tour des réseaux sociaux. Avec des termes comme « amis« , « BFF« , « et » famille« , inutile de préciser que la cible adolescente n’a pas eu de mal à s’y retrouver, et c’est d’ailleurs grâce à cela qu’elle a (largement) contribué à ce succès. Certaines bouteilles « rares » sont même déjà en vente au plus offrant sur eBay.

Sachez cependant que la campagne s’est officiellement achevée depuis la rentrée. Mais vu son efficacité, elle devrait rapidement reprendre du service. « Partagez un Coca-Cola » a été lancée en 2011 en Australie et les ventes ont fait un bond de 7% au cours de la promotion.

Aujourd’hui, on se demande qui n’a pas eu sa bouteille avec son prénom dessus ou qui n’a pas envoyé un texto en tombant par hasard sur le nom d’un ami !





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