L’affaire Dieudonné a amplement démontré le contrôle du lobby juif sur les médias mainstream. Il a suffi qu’Alain Jakubowicz, le président juif de la LICRA française, affirme que le geste de la quenelle est « un salut nazi inversé », et même « une sodomisation des victimes de la shoah » (1), pour que ce délire de psychopathe soit repris par tous les médias mainstream et présenté comme « une information objective ». Dieudonné a été victime d’une campagne de lynchage médiatique, les journalistes rivalisant de bassesse pour tenter de l’ostraciser et relayant avec complaisance une campagne de calomnies selon laquelle Dieudonné était antisémite, voire sympathisant nazi. Il n’était question que d’interdire à tout prix ses spectacles, au mépris de ses droits et de ceux du public. Même des appels au meurtre de Dieudonné ont été relayés avec complaisance par la radio et la télévision (2). Dans le même temps, les médias à la botte du lobby juif menaient une campagne de persécution à l’encontre des adeptes du geste de la quenelle, se félicitant que tel élève ait été expulsé de son lycée (3) ou que tel salarié ait été licencié de son emploi pour avoir effectué une quenelle qu’aucune loi n’interdisait (4).
Dans l’affaire du vol MH17 abattu au-dessus de l’Ukraine, on retrouve
ces mêmes médias à la botte du lobby juif menant une campagne de
désinformation et de calomnie à l’échelle mondiale, cette fois contre
les séparatistes anti-fascistes ukrainiens et la Russie (5). Des
accusations gratuites ont aussitôt été présentées au public comme des
faits avérés. Tout ce qui contredisait ces accusations a été passé sous
silence ou hypocritement qualifié de « propagande russe ». Ces
accusations calomnieuses ont été diffusées et relayées par divers
gouvernements occidentaux qui ont pour point commun de faire ostentation
de leur allégeance au lobby juif et à Israël.
Non content de propager des calomnies conformément à son habitude, le
lobby juif, par l’intermédiaire des médias et des politiciens à sa
botte, a soutenu le coup d’Etat fasciste en Ukraine (6), favorisé une
campagne de persécution et de massacres à l’encontre de la minorité
russophone (7), et s’est même efforcé de provoquer une guerre entre les
pays de l’Union européenne et la Russie, cette dernière étant
fallacieusement accusée de vouloir envahir l’Ukraine, voire les Etats
baltes, pour ne pas dire l’Europe tout entière. Les fascistes pro-Kiev
et leurs escadrons de la mort sont présentés comme de sympathiques
« pro-européens », tandis que ceux qui leur résistent ne seraient que
des mercenaires russes terrorisant la population locale (8). Si tel
était réellement le cas, pourquoi les civils visés par les bombardements
de leurs localités vont-ils se réfugier en masse en Russie ? (9)
Des réfugiés ukrainiens arrivés à la gare de Stavropol, au sud
de la Russie. Suite au flux croissant des réfugiés ukrainiens, le
gouvernement russe a décidé d’augmenter de 20 % son programme d’aide aux
réfugiés. Près de 60000 Ukrainiens pourront dorénavant déménager en
Russie
Dans ces affaires comme dans tant d’autres, on relèvera la tactique
typiquement juive de l’inversion accusatoire : l’oppresseur se prétend
victime de l’opprimé, le calomniateur se prétend victime du calomnié et
le persécuteur se prétend victime du persécuté. Ainsi, les fascistes
pro-Kiev, alors même qu’ils bombardent délibérément les civils des
localités russophones, traitent les séparatistes de « terroristes » et
n’hésitent d’ailleurs pas à les accuser d’avoir eux-mêmes effectué ces
bombardements. Les mensonges les plus éhontés des fascistes pro-Kiev
sont présentés comme autant d’informations objectives par les médias à
la botte du lobby juif. Au point qu’un convoi humanitaire russe destiné à
secourir les victimes de la guerre civile est décrit comme « une
invasion » de l’Ukraine par la Russie (10).
Un convoi humanitaire destiné aux victimes de la guerre civile en Ukraine, dans la région de Rostov, en Russie, le 22 août 2014
Pour quiconque observe attentivement ses activités dans le monde, il ne
fait aucun doute que le lobby juif international est une organisation
criminelle qui passe son temps à propager l’islamophobie (11), à mener
des campagnes de calomnies (12), des campagnes de persécution (13), des
campagnes de désinformation, à fomenter des guerres et à corrompre les
élus de tous les partis afin d’instaurer partout une dictature juive
pour le compte d’Israël (14). Partout où on le laisse faire, le lobby
juif poursuit la même stratégie au moyen des mêmes méthodes.
Une affiche de la Ligue de défense juive
Les médias mainstream relatent souvent -avec complaisance- les activités
du lobby juif, mais toujours d’une façon fragmentaire, si bien qu’on
n’en a pas une vision d’ensemble. C’est comme si chacun des crimes de la
mafia était présenté comme un fait divers isolé, plus ou moins
dramatique mais sans réelle importance. On ne se rend pas compte qu’on a
affaire à une organisation criminelle internationale poursuivant
partout le même but et représentant une grave menace pour la société.
Il faut bien voir que le lobby juif se moque éperdument de la volonté
de la population locale dans les pays où il opère. Celle-ci est traitée
par le plus complet mépris. On achète les élus et on s’efforce
d’intimider ou de discréditer ceux qui refusent de se laisser acheter.
Partout où il le peut, le lobby juif impose l’adoption de loi
liberticides criminalisant toute critique de ses agissements, des
agissements de ses membres et du régime raciste israélien, ces critiques
étant systématiquement qualifiées d’« incitations à la haine ». La
dictature juive s’impose sous couvert de « lutte contre la
discrimination ».
On relèvera que nul n’est plus haineux que ces juifs qui ont
continuellement le mot « haine » à la bouche et se prétendent toujours
victimes de la haine d’autrui. Ces mêmes juifs, qui sont racistes
jusqu’à l’os (le Talmud assimile les non juifs à des animaux (15)),
adulateurs du régime raciste israélien, se donnent des airs de
références antiracistes et se prétendent victimes du racisme des
non-juifs.
Il existe une petite minorité de juifs qui dénoncent le régime
israélien et les agissements du lobby juif. Il est clair que ces
juifs-là sont parfaitement respectables, mais il s’agit d’une minorité
persécutée, injuriée, diffamée, voire même agressée, dont l’existence ne
saurait tenir lieu d’alibi à la majorité dont elle subit les
persécutions.
Le lobby juif opère comme une 5ème colonne israélienne, infiltrant
nos médias, nos administrations, nos parlements et nos exécutifs (16),
infectant nos sociétés comme une gangrène qui corrompt tout de proche en
proche. En le laissant opérer à sa guise, on se retrouve avec des
médias transformés en usines à mensonges, des élus au service d’un Etat
étranger fasciste et raciste, des finances publiques pillées au profit
du shoah business et d’Israël, etc... Ainsi, par exemple, aux
Etats-Unis, un Congrès totalement contrôlé par le lobby juif vote une
augmentation de l’aide militaire à Israël (17), alors même qu’on taille
dans les bons alimentaires destinés aux plus démunis, qu’on ferme des
écoles, des hôpitaux, qu’il n’y a plus d’argent pour réparer les routes
et que des villes sont en faillite. Les gouvernements allemands
successifs se sont laissés extorquer plus de 100 milliards de dollars
par le shoah business et ont offert des sous-marins à Israël, tout en
taillant dans les indemnités des chômeurs, en diminuant le montant des
retraites, etc...
On retrouve le lobby juif derrière la politique néolibérale et sa
« philosophie ». L’économiste Milton Friedman, idéologue du
néolibéralisme, était juif (18).
Bien qu’il affecte hypocritement de promouvoir la liberté –en fait la
liberté du renard dans le poulailler-, le néolibéralisme c’est le culte
de la cupidité, l’adulation des plus riches -les gagnants-, le mépris
des pauvres -les perdants-, la destruction systématique de tout rapport
de solidarité entre les citoyens qu’on s’efforce continuellement de
dresser les uns contre les autres. Les pires exploiteurs sont décrits
comme des philanthropes « créateurs d’emplois ». Les plus démunis, les
invalides, les retraités, les chômeurs, les requérants d’asile, sont
systématiquement calomniés, dépeints comme des parasites. On feint de
défendre « la classe moyenne » en imposant une politique qui ne profite
qu’aux multinationales et aux spéculateurs internationaux, c’est-à-dire
essentiellement aux milliardaires juifs et à leurs pareils. On multiplie
les cadeaux fiscaux aux plus riches, quitte à ruiner les Etats, et on
invoque la dette publique comme un prétexte pour dépouiller les plus
démunis du peu qu’ils avaient obtenu après des générations de lutte pour
le progrès social. Les salariés sont considérés comme des esclaves dont
les droits doivent être abolis sous prétexte de « compétitivité
internationale ». Les lois sur le chômage visent non pas à aider les
chômeurs, mais à les contraindre d’accepter n’importe quel emploi pour
n’importe quel salaire et à plonger les exploités dans la crainte
permanente de perdre leur emploi, aussi mal payé puisse-t-il être. Les
médias à la botte du lobby juif ne cessent de présenter cette politique
cynique, cruelle, immorale et irresponsable comme la seule politique
« réaliste », toute politique alternative étant présumée « utopiste ».
Les rédacteurs en chef des médias mainstream sont choisis en fonction
de leur allégeance au néolibéralisme et au lobby juif. Chroniqueurs et
éditorialistes ont pour mission de prêcher la fuite en avant néolibérale
-une « fatalité » à laquelle tout individu raisonnable est censé se
soumettre- et à stigmatiser ses victimes. Le rôle de ces médias n’est
plus d’informer mais, bien au contraire, d’occulter la vérité, de
tromper, de manipuler. Le journalisme est devenu une forme de
prostitution.
Le lobby juif représente la plus grave menace à laquelle la
démocratie soit confrontée. Cette menace est d’autant plus grave que,
loin d’être combattue, elle n’est même pas reconnue pour ce qu’elle est.
Ceux qui devraient combattre le lobby juif comme une mafia sont
paniqués à la seule idée de se faire traiter d’antisémites. Il suffit
pourtant de prendre cette accusation d’où elle vient et de la considérer
comme un compliment.
Frank BRUNNER
Notes :
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