Après s'être emparé de l'excuse du rapt et
de l'assassinat de 3 jeunes colons pour intervenir de manière
totalement abjecte et démesurée à Gaza en enfreignant à multiples
reprises le Droit international, le gouvernement israélien en
déconfiture suite à cette calamiteuse campagne militaire avait dû
trouver une nouvelle justification pour tenter de relancer sa machine de
guerre. En effet, lors de la trêve d'environ une semaine en plein
massacres, aucun des objectifs visés par le 1er ministre Netanyahu
n'avait été atteints : ni l'arrêt des roquettes sur Israël, ni le
soulèvement de la population contre les dirigeants du Hamas, ni
l'éradication de ce dernier, ni même la scission entre le Hamas et le
Fatah nouvellement réunis dans la perspective d'un gouvernement d'unité
nationale... Bravo l'artiste ! Et c'est un mensonge de plus sur la
rupture de la trêve par le Hamas, puis très vite un bébé d'une colonie
tué par les éclats d'une roquette qui ont servi d'alibi à la reprise de
ces punitions collectives meurtrières et illégales... qui n'ont
heureusement duré que quelques jours supplémentaires, avant de devoir
reconnaître l'impasse dans laquelle l'entité sioniste s'était engagée.
Aux USA, après les campagnes désastreuses menées depuis des années au Moyen-Orient, le président Obama prix Nobel de la Paix, poussé par son aile droite et par le complexe militaro-industriel a dû trouver lui aussi une excuse pour relancer ses bombardements en Irak, estimant même au passage que cela ne suffira pas pour éradiquer l'EI (État islamique) et qu'il faudrait étendre ces frappes à la Syrie. L'État yankee n'a toujours pas digéré qu'il ait fallu s'incliner il y a quelques mois devant la diplomatie russe ayant écarté ce nouveau bain de sang annoncé. Et dans le cas présent, c'est la décapitation du soi-disant journaliste James Foley qui a fait l'affaire... soi-disant, parce que certains éléments attestent de sa présence en tant que soldat en Afghanistan, et qu'il serait peut-être bien un agent de la CIA... sans parler que sa mort pourrait remonter à plus d'un an, dans ces supercheries médiatiques auxquelles les gouvernements de nos « démocraties » nous ont habitués.
Entre ces deux États voyous - États-Unis & Israël - la synchronisation marche bien, et ils fonctionnent en stéréo parfaite. Leur veulerie est telle, que même le décès de victimes n'est pas respecté mais au contraire, sert d'alibi aux va-t'en guerre pour pousser toujours plus loin leurs politiques mortifères. La moindre anecdote, le détail le plus sordide est monté en épingle et travesti pour servir les plans les plus sinistres. Mais combien de temps encore fonctionnera cette répugnante synchronisation ?... D'autant après le nouveau fiasco de l'armée israélienne, pourtant bardée de technologie sophistiquée et inondée de dollars à la pelle ?...
Le Président Obama qui avait soulevé tant d'espoirs après les deux mandats désastreux de G.W.Bush et son clan de gangsters en cols blancs, ne convainc plus grand monde en-dehors de son entourage et des quelques eunuques européens prêt à vendre leur âme pour n'importe quel os à ronger... De son côté, le 1er ministre Netanyahu doit multiplier ses discours et déclarations en trompe-l'œil pour tenter de masquer l'échec patent de sa désastreuse stratégie... Et c'est le Hamas qui, à travers ses dirigeants déterminés, a annoncé aux Israéliens qu'ils pouvaient tranquillement regagner leurs kibboutz... Quelle leçon ! Et surtout, quelle gifle magistrale au gouvernement sioniste !
Je l'écrivais dans un papier récent : « Tôt ou tard, l'effondrement de l'Etat israélien », mais ignorais à ce moment-là, que les premiers indices seraient aussi clairs.
L'on peut désormais entrevoir le jour où l'on dira : « Gaza outragé, Gaza brisé, Gaza martyrisé, mais Gaza libéré ! Libéré par lui-même, libéré par son peuple ! »... avant d'en dire autant de toute la Palestine !
Aux USA, après les campagnes désastreuses menées depuis des années au Moyen-Orient, le président Obama prix Nobel de la Paix, poussé par son aile droite et par le complexe militaro-industriel a dû trouver lui aussi une excuse pour relancer ses bombardements en Irak, estimant même au passage que cela ne suffira pas pour éradiquer l'EI (État islamique) et qu'il faudrait étendre ces frappes à la Syrie. L'État yankee n'a toujours pas digéré qu'il ait fallu s'incliner il y a quelques mois devant la diplomatie russe ayant écarté ce nouveau bain de sang annoncé. Et dans le cas présent, c'est la décapitation du soi-disant journaliste James Foley qui a fait l'affaire... soi-disant, parce que certains éléments attestent de sa présence en tant que soldat en Afghanistan, et qu'il serait peut-être bien un agent de la CIA... sans parler que sa mort pourrait remonter à plus d'un an, dans ces supercheries médiatiques auxquelles les gouvernements de nos « démocraties » nous ont habitués.
Entre ces deux États voyous - États-Unis & Israël - la synchronisation marche bien, et ils fonctionnent en stéréo parfaite. Leur veulerie est telle, que même le décès de victimes n'est pas respecté mais au contraire, sert d'alibi aux va-t'en guerre pour pousser toujours plus loin leurs politiques mortifères. La moindre anecdote, le détail le plus sordide est monté en épingle et travesti pour servir les plans les plus sinistres. Mais combien de temps encore fonctionnera cette répugnante synchronisation ?... D'autant après le nouveau fiasco de l'armée israélienne, pourtant bardée de technologie sophistiquée et inondée de dollars à la pelle ?...
Le Président Obama qui avait soulevé tant d'espoirs après les deux mandats désastreux de G.W.Bush et son clan de gangsters en cols blancs, ne convainc plus grand monde en-dehors de son entourage et des quelques eunuques européens prêt à vendre leur âme pour n'importe quel os à ronger... De son côté, le 1er ministre Netanyahu doit multiplier ses discours et déclarations en trompe-l'œil pour tenter de masquer l'échec patent de sa désastreuse stratégie... Et c'est le Hamas qui, à travers ses dirigeants déterminés, a annoncé aux Israéliens qu'ils pouvaient tranquillement regagner leurs kibboutz... Quelle leçon ! Et surtout, quelle gifle magistrale au gouvernement sioniste !
Je l'écrivais dans un papier récent : « Tôt ou tard, l'effondrement de l'Etat israélien », mais ignorais à ce moment-là, que les premiers indices seraient aussi clairs.
L'on peut désormais entrevoir le jour où l'on dira : « Gaza outragé, Gaza brisé, Gaza martyrisé, mais Gaza libéré ! Libéré par lui-même, libéré par son peuple ! »... avant d'en dire autant de toute la Palestine !
LE WERWOLF
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