lundi 25 août 2014

"l'arnaque" de l'euro





La cherté de l’euro joue un rôle majeur dans la perte de centaines de milliers d’emplois de notre industrie. En cela, cette monnaie est bien une arnaque. On nous promettait croissance et emplois, nous avons eu chômage et austérité. Et ce n’est malheureusement qu’un des nombreux aspects de l’arnaque que représente l’euro pour une grande majorité de la population0...



Le pouvoir d'achat , merci l'euro





COMMENT JACQUES CHIRAC A VENDU L'EURO AUX FRANÇAIS



Extrait du discours de Jacques Chirac le 31/12/1998 (on peux affirmer aujourd’hui qu’il a trompé les citoyens) :

« L’euro va changer l’Europe et d’abord les mentalités. Je tiens ce soir à vous rendre hommage. L’euro, c’est d’abord le fruit de vos efforts. C’est aussi l’expression de votre esprit d’ouverture, car si vous ne l’aviez pas voulu, si vous ne l’aviez pas rendu possible, nous serions restés en dehors de cette grande aventure. Pour nous, Français, c’est une chance. L’euro nous apportera plus de choix dans nos achats, des prix plus bas, de nouvelles parts de marché, de nouveaux emplois. Il nous apportera plus de stabilité dans un monde incertain. Plus de force face aux grands pôles économiques et politiques qui existent et se développent sur la planète. »



La saga de l'euro



Voix off
Le 1er janvier 2002, l'euro débarque dans nos portefeuilles, après des années de sacrifices pour être dans les conditions exigées. Dix ans plus tard, les Belges ne semblent pas regretter le franc.

Un passant
Absolument pas, y avait des dévaluations régulièrement du temps où le franc belge existait. Un deuxième passant Moi, j'y vois un avantage de voyager déjà : on n'a pas de problème de convertir nos monnaies, tout ça. Je trouve que ça rassemble un tout petit peu les peuples, hein.

Voix off
En 2002, les promoteurs de l'euro imaginaient que cette monnaie commune à douze pays allait rassembler — non pas un petit peu, mais beaucoup — les peuples, en relançant la construction européenne, mais rien de tout ça ne va se passer.

Jean Pisani-Ferry, directeur de l'institut Bruegel
Ce qui s'est passé une fois qu'on a fait l'euro, c'est que les États, les peuples aussi, ont eu l'impression qu'ils avaient tellement concédé en transférant la responsabilité de la monnaie au niveau européen que, sur tout le reste, il fallait surtout garder les choses au niveau national ; et puis ils avaient fait tellement d'efforts pour se qualifier pour l'euro qu'ils pouvaient penser à autre chose. Et donc, il n'y a pas eu cette dynamique à laquelle croyaient les pères fondateurs.

Le deuxième passant
Je critique qu'on a un euro et on n'a pas de gouvernement européen. Hein, c'est chacun pour soi, chacun de son côté ; le problème il est là, quoi.

Voix off
En effet, une monnaie commune, ça exige plus de communauté. Mais comment ? Les pays ne s'entendent pas là-dessus.

Jean Pisani-Ferry, directeur de l'institut Bruegel
Les Allemands disent « il manque une union politique » parce qu'ils ont cette idée très fédérale que, au fond, d'abord, la monnaie, ça ne va pas sans des formes de solidarité, de quelque chose qui crée de la communauté. Et les Français, eux, dans leur culture centralisatrice, ils disaient, mais il manque quelque chose à côté de la Banque centrale ; et ce quelque chose, ils l'appelaient gouvernement économique.

Voix off
Mais le président français, François Mitterrand, ne veut pas d'une union politique, d'un fédéralisme européen. Le chancelier allemand, Helmut Kohl, lui, ne veut pas que l'on touche à l'indépendance de la Banque centrale européenne. Donc rien ne se fera. Jean Pisani-Ferry raconte, dans Le Réveil des démons, cette saga de l'euro qui, faute de fondations solides, menace de s'effondrer. Mais faut-il être pessimiste ?

Le premier passant
Je crois qu'on est devant la crise qui va faire faire un bond en avant dans l'union de l'Europe. L'euro est un progrès et ça va aller en s'améliorant.




Après les sondages bidons, voici les statistiques fantaisistes.

 
Vous vous rappelez sûrement des sondages de l'élection présidentielle de 2002 à laquelle Jacques CHIRAC et Jean-Marie LE PEN étaient les heureux gagants du 1er tour. Aveuglement politico-médiatique, manipulation des sondages, ... on ne le saura jamais ; quoi qu'il en soit personne n'avait émis cette éventualité. Les médias et les politiques auvaient-ils peur d'émettre une telle hypothèse ? Certainement pas officiellement.

Une fois admise, les supercheries des annonces officielles, voici les statistiques officielles. Vous avez certainement entendu dire que l'inflation bien que minime (toujours dans les normes du politiquement correcte) était maitrisée. Mais qu'en est-il sur le terrain. Vous savez, la ménagère qui doit composer avec son pouvoir d'achat pour remplir son cabat. Nous sommes loin du train de vie des ministres, sénateurs, policitiens, préfets, ...

Les journalistes alignés ne sont pas en reste. Ou sont leurs experts ? ces savants qu'ils sortent des placards pour justifier telle ou telle mesure politique. Ou sont ces experts qui auraient du mener une enquête indépendante de l'inflation subie par le passage à l'Euro ?
Pour les commerçants : RAS





Pourquoi la récession et le crash de l'euro sont prévisibles ?



Cette spirale infernale finit en banqueroute du pays et finit souvent à une guerre. Pour conclure je voudrais vous citer David Rockefeller en 1994 « nous trouvons devant un début d'un bouleversement mondial tous ceux dont que nous avons besoin c'est une crise vraiment grande alors les nations accepteront le nouvel ordre mondial »






LE WERWOLF



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