lundi 22 septembre 2014

La Bretagne est juridiquement indépendante !





A l'heure de la mondialisation, les pays connaissent des poussées régionalistes pour défendre leur identité.



Un livre, qui remet à leur place les faits historiques sur la Bretagne, circule sous le manteau et permet de savoir comment la Bretagne a été envahie, détruite, colonisée par la France : « Le livre bleu de la Bretagne » publié en 2013 par l'Association Bretonne de Culture de Plouray, qui est une Charte pour une Bretagne indépendante et souveraine, a été écrit par un comité constitué de personnalités bretonnes avec Louis Mélennec (docteur en droit et en médecine, diplômé d'études supérieures de droit public, de droit privé, de sciences criminelles, diplômé d'études approfondies en histoire, ex-Consultant près le Médiateur de la République française).

On apprend que la Bretagne est juridiquement indépendante et que la Bretagne n'est pas la France. Avec ses 97 pages, l'ouvrage disponible gratuitement sur le Net ouvre les yeux aux Bretons qui ont été manipulés, humiliés, exploités par la France et qui sont encore trahis par des élites bretonnes.


Culture admirable. « La France, depuis 1789, a procédé à un lavage des cerveaux si efficace, que les Bretons, honteux de leur langue, de leurs coutumes, de leurs costumes, les abandonnent, pour singer le modèle colonial, présenté comme Admirable, Remarquable, Unique, Universel, seul digne d'être admiré», dénonce les auteurs en guise d'introduction.

Les auteurs dénoncent aussi la classe politique bretonne en ces mots, « la lamentable classe politique bretonne, soumise, à partir du XIXe siècle, a, non seulement accompagné cette œuvre de destruction, mais l'a précédée». Quinze années de recherches pointues dans les archives bretonnes ont permis d'obtenir ce livre qui donne aux lecteurs leurs racines. Les auteurs du livre bleu de la Bretagne expliquent que « les plus grandes difficultés, dans cette démarche, ont été créées par les Bretons eux-mêmes ; et pas seulement ceux qui sont définitivement lobotomisés».

Ceux qui parlent la langue bretonne, et qui sont à la tête d'institutions bretonnes, ne font pas le travail indispensable pour la transmission et se limitent à vivre entre eux dans leur savoir. Ils ne vont pas assez à la rencontre de ceux et celles qui veulent apprendre la langue de leurs parents ou ils ne vont pas obliger les responsables politiques de la région à mettre en place une politique culturelle et linguistique adéquate. Il faut aussi parler des médias en Bretagne qui participent au déclin de cette merveilleuse culture bretonne et de l'élite politique actuelle en Bretagne qui favorise aujourd'hui la culture africaine à l'enseignement du breton.


Toujours occupée par la France. Louis Mélennec, docteur en droit, ex-consultant près le Médiateur de la République française, met les points sur les i : « En droit international, la Bretagne n'est en aucun cas une partie de la France, pas davantage une +province+ du pays autoproclamé +des droits de l'homme+. Envahie, détruite, soumise, pillée de ses finances, de ses hommes, des ses talents, la Bretagne est et reste, au regard des Principes généraux du droit et du droit international, une colonie, c’est à dire un pays occupé». La France continue d'occuper par la force la Bretagne. « L'occupation d'un pays par la force, même de longs siècles après son invasion, ne crée aucun droit au bénéfice de l'envahisseur.

L'ONU vient de le rappeler, sous la forme d'une flagellation administrée à la France : ce pays est une puissance coloniale dans les îles de Polynésie, son seul droit dans ces territoires est de les évacuer. La prescription n'existant pas en matière de crimes contre l'humanité, il ne reste à sa charge que l'obligation de réparer les dégâts colossaux commis. La présence de la France en Bretagne relève des mêmes principes, car le droit est le même pour tous, et la force est le contraire du droit», explique Louis Mélennec.

Pour Hazo Netanel, Président de l'Association Bretagne-Israël, 2010, « Le peuple Breton sort de cette léthargie, de ce confort d’esclave ou tout est mis à sa disposition par la déesse raison, pour mieux l'étouffer. Le chemin sera long encore jusqu'à l'indépendance mais c'est inéluctable. La France est en faillite morale, intellectuelle, elle éclatera du fait des différentes communautés qui la phagocytent... ». Grâce au « livre bleu de la Bretagne » on apprend que le texte connu sous le nom « d'Edit d'Union » présenté comme un traité, un accord bilatéral, conclu par deux puissances souveraines, a été publié unilatéralement par la France en août 1532 et ne fut qu'un tour de passe-passe juridique, initié et perpétré par la France seule où jamais les Bretons n'ont été consultés sur leur sort. Les Bretons n'ont ni négocié, ni participé à la rédaction de l'Edit d'Union et ils ne l'ont pas paraphé. /N

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Repéré par : Le Vieux Loup
 
 
 

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