dimanche 21 septembre 2014

Le mafieux juif Mikhaïl Khodorkovski veut devenir le prochain président russe





Lorsque nous avons appris, fin 2013, la grâce accordée au criminel juif Mikhaïl Khodorkovski par Vladimir Poutine, nous avons immédiatement été convaincu de ce qu’il s’agissait d’une grave erreur de la part du président russe. A nos yeux, laisser un tel individu rejoindre ses coreligionnaires en Occident offrait au sionisme international le porte-drapeau qu’il recherchait pour coaguler les efforts visant à vaincre la Russie chrétienne restaurée.

 

La revanche du judaïsme



Dès sa libération, le comportement de la presse était révélateur. Celui qui avait tenté de démanteler la Russie en livrant des secteurs stratégiques russes aux financiers juifs de Wall Street était présenté comme un “dissident” et un héros des “droits-de-l’homme”, comparable à un Soljenitsyne. Nous avions alors rappelé les hauts faits de cet élément cosmopolite, impliqué dans des affaires de meurtre, de blanchiments d’argent, d’extorsion ayant causé un préjudice de milliards de dollars à l’Etat Russe.

Nous avions relevé son engagement en faveur des putschistes juifs de Kiev dans un article intitulé “L’oligarque juif Mikhail Khodorkovsky annonce une révolution en Russie”. Il s’était rendu personnellement à Kiev pour déclaré à la foule qu’il existait une “Russie complètement différente”, et pour cause, celle dont il rêve et qu’il tenta d’édifier dans les années 90 avec ses congénères sur la ruine du peuple russe.

Nous prédisions même, en privé, que le judaïsme international voulait satisfaire sa soif de vengeance en arrêtant Vladimir Poutine, en l’humiliant publiquement dans un procès à grand spectacle, ceci à la faveur d’une révolution colorée. Après quoi il serait lynché par une meute d’assassins stipendié que l’on présenterait comme la fine fleur du peuple russe en lutte pour sa “liberté”.


Vers un “Maïdan” russe



Nous avions confié à plusieurs notre certitude de ce que le scénario était déjà écrit. La vision satanique d’un Bernard Henri Lévy haranguant la foule sur la Place Rouge, tandis que le juif Mikhaïl Khodorkovski serait le candidat désigné par le Kahal pour devenir le nouveau roi de Russie se présentait déjà devant nos yeux. Une nouvelle révolution bolchevique, réactualisée grâce aux méthodes modernes de subversion.

Hélas, ce que nous disions en privé se révèle être exact. Dans une déclaration qui a tous les traits d’une annonce publique de sa prétention au trône, Khodorkovski a indiqué qu’il voulait être le futur président de la Russie. Une Russie où le régime présidentiel serait brisé. Sans surprise, c’est le journal Le Monde, du banquier juif Pigasse, qui a annoncé la chose :
 Interrogé sur son désir de devenir un jour président de la Russie, Mikhaïl Khodorkovski a répondu de la façon suivante : « Je n’ai pas une telle mission devant moi. Je ne serais pas intéressé par l’idée de devenir président de la Fédération de Russie, à un moment où le pays se développerait normalement », a-t-il expliqué, avant d’ajouter :

« Mais s’il apparaissait nécessaire de surmonter la crise et de conduire une réforme constitutionnelle, dont l’essentiel consiste à redistribuer le pouvoir présidentiel en faveur du système judiciaire, du parlement et de la société civile, alors je serais prêt à assumer cette partie du travail. »
L’article nous apprend en outre comment le juif Khodorkovski compte s’y prendre pour fomenter une révolution cosmopolite en Russie :
Mikhaïl Khodorkovski a lancé samedi un nouveau mouvement, Russie Ouverte, qui ambitionne de fonctionner en réseau, sans véritable centre névralgique, pour regrouper dans toute la Russie les partisans d’une voie de développement européenne. Cette voie suppose la promotion d’un Etat de droit et d’un renouvellement régulier du pouvoir par le truchement d’élections.
Russie Ouverte avait existé au début des années 2000 sous forme de fondation, venant en soutien financier d’organisations non gouvernementales. Cette fois, Mikhaïl Khodorkovski envisage d’apporter un soutien à certains candidats aux élections législatives, sans constituer de listes propres. Le « centre technique » de Russie Ouverte se trouvera à Prague.

L’erreur du Kremlin



Les raisons qui ont poussé Vladimir Poutine à gracier cet agitateur sont inconnues. Le gouvernement russe, conscient de la gravité de la situation, aurait du régler le problème une fois pour toute quand il en avait la possibilité. Le moindre signe d’apaisement étant toujours immanquablement perçu par la secte comme celui d’une faiblesse, puissant encouragement à la frénésie meurtrière et révolutionnaire de cette engeance.

A présent libérée, la bête s’active pour faire couler des fleuves de sang en Russie tandis que l’internationale noire entend réparer les erreurs commises au début des années 2000 en faisant expier au passage la Russie chrétienne.

 Yann de Kerguezec







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 Repéré par : Le Vieux Loup




 

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