Lorsque nous
avons appris, fin 2013, la grâce accordée au criminel juif Mikhaïl
Khodorkovski par Vladimir Poutine, nous avons immédiatement été
convaincu de ce qu’il s’agissait d’une grave erreur de la part du
président russe. A nos yeux, laisser un tel individu rejoindre ses
coreligionnaires en Occident offrait au sionisme international le
porte-drapeau qu’il recherchait pour coaguler les efforts visant à
vaincre la Russie chrétienne restaurée.
La revanche du judaïsme
Dès sa
libération, le comportement de la presse était révélateur. Celui qui
avait tenté de démanteler la Russie en livrant des secteurs stratégiques
russes aux financiers juifs de Wall Street était présenté comme un
“dissident” et un héros des “droits-de-l’homme”, comparable à un
Soljenitsyne. Nous avions alors rappelé les hauts faits de
cet élément cosmopolite, impliqué dans des affaires de meurtre, de
blanchiments d’argent, d’extorsion ayant causé un préjudice de milliards
de dollars à l’Etat Russe.
Nous avions relevé son engagement en faveur des putschistes juifs de Kiev dans un article intitulé “L’oligarque juif Mikhail Khodorkovsky annonce une révolution en Russie”.
Il s’était rendu personnellement à Kiev pour déclaré à la foule qu’il
existait une “Russie complètement différente”, et pour cause, celle dont
il rêve et qu’il tenta d’édifier dans les années 90 avec ses congénères
sur la ruine du peuple russe.
Nous prédisions même,
en privé, que le judaïsme international voulait satisfaire sa soif de
vengeance en arrêtant Vladimir Poutine, en l’humiliant publiquement dans
un procès à grand spectacle, ceci à la faveur d’une révolution colorée.
Après quoi il serait lynché par une meute d’assassins stipendié que
l’on présenterait comme la fine fleur du peuple russe en lutte pour sa
“liberté”.
Vers un “Maïdan” russe
Nous avions confié à
plusieurs notre certitude de ce que le scénario était déjà écrit. La
vision satanique d’un Bernard Henri Lévy haranguant la foule sur la
Place Rouge, tandis que le juif Mikhaïl Khodorkovski serait le candidat
désigné par le Kahal pour devenir le nouveau roi de Russie se présentait
déjà devant nos yeux. Une nouvelle révolution bolchevique, réactualisée
grâce aux méthodes modernes de subversion.
Hélas, ce que nous
disions en privé se révèle être exact. Dans une déclaration qui a tous
les traits d’une annonce publique de sa prétention au trône,
Khodorkovski a indiqué qu’il voulait être le futur président de la
Russie. Une Russie où le régime présidentiel serait brisé. Sans
surprise, c’est le journal Le Monde, du banquier juif Pigasse, qui a annoncé la chose :
Interrogé sur son désir de devenir un jour président de la Russie, Mikhaïl Khodorkovski a répondu de la façon suivante : « Je n’ai pas une telle mission devant moi. Je ne serais pas intéressé par l’idée de devenir président de la Fédération de Russie, à un moment où le pays se développerait normalement », a-t-il expliqué, avant d’ajouter :
« Mais s’il apparaissait nécessaire de surmonter la crise et de conduire une réforme constitutionnelle, dont l’essentiel consiste à redistribuer le pouvoir présidentiel en faveur du système judiciaire, du parlement et de la société civile, alors je serais prêt à assumer cette partie du travail. »
L’article nous apprend en outre comment
le juif Khodorkovski compte s’y prendre pour fomenter une révolution
cosmopolite en Russie :
Mikhaïl Khodorkovski a lancé samedi un nouveau mouvement, Russie Ouverte, qui ambitionne de fonctionner en réseau, sans véritable centre névralgique, pour regrouper dans toute la Russie les partisans d’une voie de développement européenne. Cette voie suppose la promotion d’un Etat de droit et d’un renouvellement régulier du pouvoir par le truchement d’élections.
Russie Ouverte avait existé au début des années 2000 sous forme de fondation, venant en soutien financier d’organisations non gouvernementales. Cette fois, Mikhaïl Khodorkovski envisage d’apporter un soutien à certains candidats aux élections législatives, sans constituer de listes propres. Le « centre technique » de Russie Ouverte se trouvera à Prague.
L’erreur du Kremlin
Les raisons qui ont poussé Vladimir
Poutine à gracier cet agitateur sont inconnues. Le gouvernement russe,
conscient de la gravité de la situation, aurait du régler le problème
une fois pour toute quand il en avait la possibilité. Le moindre signe
d’apaisement étant toujours immanquablement perçu par la secte comme
celui d’une faiblesse, puissant encouragement à la frénésie meurtrière
et révolutionnaire de cette engeance.
A présent libérée, la bête s’active pour
faire couler des fleuves de sang en Russie tandis que l’internationale
noire entend réparer les erreurs commises au début des années 2000 en
faisant expier au passage la Russie chrétienne.
Yann de Kerguezec
LE WERWOLF
BREIZ ATAO :: Lien
Repéré par : Le Vieux Loup
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