S'il est un domaine où la France à tendance à faire la course dans
le peloton de tête, c'est bien la consommation de médicaments. Ainsi,
en 2012, quelque 175.500 tonnes de médicaments ont été vendues en
France, dont environ 5.500 tonnes dédiées aux animaux d'élevages. Ce
tonnage de chimie pharmaceutique qui fait de la France la première
consommatrice de médicaments en Europe, est également à l'origine
d'une contamination de la ressource en eau potable.
Plus de la moitié des 48 boîtes de médicaments que
chaque Français ingurgite en moyenne chaque année, n'est pas retenue par
nos organismes et se retrouve finalement dans les eaux de surface
via des stations d'épuration non conçues pour les traiter. Dans ces
conditions, rien d'étonnant que les rares études existantes relèvent
trois grandes familles de molécules dans les eaux de surface :
Mais, outre leur potentielle nocivité, le cocktail de leur dissémination dans le milieu naturel inquiète. Plusieurs études soulignent d'ores et déjà, la féminisation d'espèces animales.
L'année dernière, un rapport dédié de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a estimé le risque négligeable, tout en reconnaissant un manque de données sur l'exposition et l'évaluation de la toxicité ad hoc (seules deux molécules d'origine médicamenteuse ont été analysées, alors que l'on en trouve plus de 160 dans l'eau).
Néanmoins, dans les pays occidentaux, on relève habituellement trois grands risques :
Si le risque est considéré comme négligeable - car lorsqu'on ne cherche pas on ne peut pas trouver - la non prise en compte de la toxicité à de très faibles doses, le caractère redondant de l'exposition et l'effet cocktail des multiples substances présentes font qu'il est impossible de définir des critères de potabilité exhaustifs, et encore moins de les évaluer. Il en va d'ailleurs de même pour les pesticides.
A titre d'anecdote, dans un village de l'Essonne où j'ai vécu pendant 23 ans, un beau matin l'eau du robinet était devenue marron. J'ai téléphoné à la mairie - ainsi que beaucoup d'autres - pour demander ce qui se passait ; la secrétaire m'assura qu'ils avaient en main la dernière analyse du jour par le service des eaux et que tout était normal. Je me suis insurgé en rappelant que l'eau est par définition incolore inodore et sans saveur. Prévenu, le maire adjoint se rendit immédiatement au laboratoire d'analyses, et il apprit ainsi que le protocole de l'analyse ne portait que sur un ensemble de toxiques statistiquement possibles... Bien entendu, faire le tour du tableau de Mendeleïev chaque jour serait aussi compliqué que coûteux.
Or, une enquête poussée sur les industries du coin permit de découvrir rapidement qu'un atelier de galvanoplastie avait, la veille, purgé (en douce) une cuve d'un sel de chrome dans la rivière attenante ; cette rivière desservait entre autres le bassin de traitement qui alimentait le village. L'analyse du chrome n'était pas prévue, puisque cette pollution n'était jamais survenue auparavant.
Acheter de l'eau en bouteille n'est pas une bonne solution : c'est coûteux, pénible à transporter, et peu sûr en sécurité sanitaire, en particulier dans les bouteilles plastique qui risquent de contenir des molécules en suspension de plastique et de dioxine, si elles ont été exposées au soleil ou chauffées durant leur transport.
La seule solution vraiment sûre passe par l'achat d'un appareil à osmose inverse pour la cuisine. L'eau qui en sort est complètement déprogrammée, ce qui est une bonne chose, puisque débarrassée de toutes mémoires toxiques, mais elle est trop pure, donc trop déminéralisée. Il suffit d'y introduire un quartz, ou une cuillère à café d'argile à boire, ou encore de la stocker dans un pot en biocéramique.
NOTA : De plus, le traitement de l'eau à l'osmose inverse (inventé pour recycler indéfiniment l'eau... même l'urine à bord des capsules spatiales) vous prémunit d'additifs toxiques au long court prévus par des règlementations stupides, voire malveillantes, tels de l'aluminium pour éclaircir l'eau, ou éventuellement du fluor, pour soit disant protéger les dents.
- des œstroprogestatifs (pilules contraceptives),
- des tranquillisants (les Français sont les premiers consommateurs d'antidépresseurs au monde),
- des anticancéreux.
Mais, outre leur potentielle nocivité, le cocktail de leur dissémination dans le milieu naturel inquiète. Plusieurs études soulignent d'ores et déjà, la féminisation d'espèces animales.
Trois grands risques identifiés
L'année dernière, un rapport dédié de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a estimé le risque négligeable, tout en reconnaissant un manque de données sur l'exposition et l'évaluation de la toxicité ad hoc (seules deux molécules d'origine médicamenteuse ont été analysées, alors que l'on en trouve plus de 160 dans l'eau).
Néanmoins, dans les pays occidentaux, on relève habituellement trois grands risques :
- féminisation des caractères sexuels,
- résistance aux antibiotiques,
- dérèglement du système endocrinien.
Si le risque est considéré comme négligeable - car lorsqu'on ne cherche pas on ne peut pas trouver - la non prise en compte de la toxicité à de très faibles doses, le caractère redondant de l'exposition et l'effet cocktail des multiples substances présentes font qu'il est impossible de définir des critères de potabilité exhaustifs, et encore moins de les évaluer. Il en va d'ailleurs de même pour les pesticides.
De l'eau marron ? Rien d'anormal monsieur !
A titre d'anecdote, dans un village de l'Essonne où j'ai vécu pendant 23 ans, un beau matin l'eau du robinet était devenue marron. J'ai téléphoné à la mairie - ainsi que beaucoup d'autres - pour demander ce qui se passait ; la secrétaire m'assura qu'ils avaient en main la dernière analyse du jour par le service des eaux et que tout était normal. Je me suis insurgé en rappelant que l'eau est par définition incolore inodore et sans saveur. Prévenu, le maire adjoint se rendit immédiatement au laboratoire d'analyses, et il apprit ainsi que le protocole de l'analyse ne portait que sur un ensemble de toxiques statistiquement possibles... Bien entendu, faire le tour du tableau de Mendeleïev chaque jour serait aussi compliqué que coûteux.
Or, une enquête poussée sur les industries du coin permit de découvrir rapidement qu'un atelier de galvanoplastie avait, la veille, purgé (en douce) une cuve d'un sel de chrome dans la rivière attenante ; cette rivière desservait entre autres le bassin de traitement qui alimentait le village. L'analyse du chrome n'était pas prévue, puisque cette pollution n'était jamais survenue auparavant.
Quelles solutions ?
Acheter de l'eau en bouteille n'est pas une bonne solution : c'est coûteux, pénible à transporter, et peu sûr en sécurité sanitaire, en particulier dans les bouteilles plastique qui risquent de contenir des molécules en suspension de plastique et de dioxine, si elles ont été exposées au soleil ou chauffées durant leur transport.
La seule solution vraiment sûre passe par l'achat d'un appareil à osmose inverse pour la cuisine. L'eau qui en sort est complètement déprogrammée, ce qui est une bonne chose, puisque débarrassée de toutes mémoires toxiques, mais elle est trop pure, donc trop déminéralisée. Il suffit d'y introduire un quartz, ou une cuillère à café d'argile à boire, ou encore de la stocker dans un pot en biocéramique.
NOTA : De plus, le traitement de l'eau à l'osmose inverse (inventé pour recycler indéfiniment l'eau... même l'urine à bord des capsules spatiales) vous prémunit d'additifs toxiques au long court prévus par des règlementations stupides, voire malveillantes, tels de l'aluminium pour éclaircir l'eau, ou éventuellement du fluor, pour soit disant protéger les dents.
Attention : Les conseils prodigués dans
cet article ne vous dispensent pas de consulter un praticien des
médecines alternatives. Vous pourrez en trouver un près de chez vous et
prendre rendez-vous sur annuaire-therapeutes.com
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Repéré par : Le Vieux Loup


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