samedi 13 septembre 2014

L’immigration : chance pour l’Europe, danger pour Israël ?





Le lobby juif a été l’un des principaux fauteurs de l’invasion de l’Europe, particulièrement à partir de 1945. Très sourcilleux sur « l’ouverture », le métissage ou l’immigration devant être imposés de force aux Européens. Les mêmes criminels défendent activement la politique extrémiste et raciste d’Israël.

Selon l’association Human Rights Watch (HRW), l’entité sioniste a expulsé illégalement près de 7 000 Africains et les a renvoyés dans leurs pays. Ces hommes et ces femmes avaient pourtant fui des persécutions et, pour certains, une mort certaine. L’entité illégale en Palestine se fait donc complice d’un nouveau génocide en les renvoyant chez eux. Pourtant, Israël n’accueille – mal – que 53 000 réfugiés et demandeurs d’asile. Ces départs forcés ne sont qu’une partie des exactions commises par les autorités juives. Il était connu qu’Israël imposé la stérilisation aux Falashas. On apprend que certains demandeurs d’asile ont été torturés.

« Les autorités israéliennes ont privé ces migrants d’accès à une procédure équitable et efficace en vue d’obtenir l’asile pour ensuite exploiter leur statut légal précaire comme prétexte pour les détenir illégalement ou les menacer d’une détention illimitée, forçant des milliers à partir. […] Détruire tout espoir de bénéficier d’une protection et proclamer ensuite qu’ils quittent volontairement Israël constitue un abus clair. […] Certains de ces migrants soudanais ont été torturés, soumis à des détentions arbitraires, poursuivis pour trahison pour avoir mis le pied en Israël »

a déclaré HRW, constatant qu’Israël refusait, par racisme, de s’ouvrir à la diversité et au multiculturalisme censé être un enrichissement quand il conduit au génocide des Blancs.

Le « poste avancé de l’Occident » (sic) a été par ailleurs dénoncé par deux associations juives, B’Tselem et Yesh Din. Elles ont mis en évidence la collusion entre la justice juive et les criminels de l’armée. Selon elles, les « enquêtes » menées par l’armée sur ses soldats s’apparentent à un « mécanisme de blanchiment ».

« Les statistiques montrent que les autorités israéliennes ne veulent pas enquêter sur les violations des droits de l’homme commises par les forces de sécurité contre les Palestiniens, écrivent les deux organisations dans un communiqué. L’échec du gouvernement d’Israël à mettre en œuvre les recommandations de la Commission Turkel, plus d’un an et demi après leur publication, ne fait que renforcer cette conclusion. »

a précisé l’une d’elles. En conséquence, elles refusent désormais de collaborer avec la justice qui « enquête » sur quelques-uns des nombreux crimes commis par Tsahal durant l’attaque contre Gaza durant l’été.





LE WERWOLF




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Repéré par : Le Vieux Loup
 

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