Le lobby juif a été l’un des principaux fauteurs de l’invasion de
l’Europe, particulièrement à partir de 1945. Très sourcilleux sur
« l’ouverture », le métissage ou l’immigration devant être imposés de
force aux Européens. Les mêmes criminels défendent activement la
politique extrémiste et raciste d’Israël.
Selon l’association Human Rights Watch (HRW), l’entité sioniste a
expulsé illégalement près de 7 000 Africains et les a renvoyés dans
leurs pays. Ces hommes et ces femmes avaient pourtant fui des
persécutions et, pour certains, une mort certaine. L’entité illégale en
Palestine se fait donc complice d’un nouveau génocide en les renvoyant
chez eux. Pourtant, Israël n’accueille – mal – que 53 000 réfugiés et
demandeurs d’asile. Ces départs forcés ne sont qu’une partie des
exactions commises par les autorités juives. Il était connu qu’Israël
imposé la stérilisation aux Falashas. On apprend que certains demandeurs d’asile ont été torturés.
« Les autorités israéliennes ont
privé ces migrants d’accès à une procédure équitable et efficace en vue
d’obtenir l’asile pour ensuite exploiter leur statut légal précaire
comme prétexte pour les détenir illégalement ou les menacer d’une
détention illimitée, forçant des milliers à partir. […] Détruire tout
espoir de bénéficier d’une protection et proclamer ensuite qu’ils
quittent volontairement Israël constitue un abus clair. […] Certains de ces migrants soudanais ont été torturés, soumis à des détentions arbitraires, poursuivis pour trahison pour avoir mis le pied en Israël »
a déclaré HRW, constatant qu’Israël refusait, par racisme, de
s’ouvrir à la diversité et au multiculturalisme censé être un
enrichissement quand il conduit au génocide des Blancs.
Le « poste avancé de l’Occident » (sic) a été par ailleurs dénoncé
par deux associations juives, B’Tselem et Yesh Din. Elles ont mis en
évidence la collusion entre la justice juive et les criminels de
l’armée. Selon elles, les « enquêtes » menées par l’armée sur ses
soldats s’apparentent à un « mécanisme de blanchiment ».
« Les statistiques montrent que les
autorités israéliennes ne veulent pas enquêter sur les violations des
droits de l’homme commises par les forces de sécurité contre les
Palestiniens, écrivent les deux organisations dans un communiqué.
L’échec du gouvernement d’Israël à mettre en œuvre les recommandations
de la Commission Turkel, plus d’un an et demi après leur publication, ne
fait que renforcer cette conclusion. »
a précisé l’une d’elles. En conséquence, elles refusent désormais de
collaborer avec la justice qui « enquête » sur quelques-uns des nombreux
crimes commis par Tsahal durant l’attaque contre Gaza durant l’été.
LE WERWOLF
Jeune Nation :: Lien
Repéré par : Le Vieux Loup



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