Le Britannique passerait près d'un an de sa vie (315 jours, en moyenne) à endurer les effets pénibles de la gueule de bois, rapporte mardi le quotidien The Independent, sur base de l'interprétation des chiffres d'un sondage mené auprès de 2.000 adultes britanniques par le Macmillan Cancer Support, à l'origine de la campagne "Go Sober For October". A en croire les calculs de l'organisation caritative, qui a rapproché le nombre de cuites mensuelles déclarées et l'espérance de vie, un Britannique sur quatorze totalisera plus de 3.000 lendemains difficiles au cours de son existence.
La tendance à l'intoxication alcoolique semble un peu plus marquée au
Nord du Royaume-Uni, où 22% des gens subissent quatre gueules de bois
par mois, contre 15% au Sud. Une différence peut aussi être constatée
entre les hommes et les femmes, ces dernières encaissant le coup
généralement pendant neuf heures, contre sept heures "seulement" pour
les hommes.
Une personne sondée sur treize a indiqué avoir raté un premier rendez-vous amoureux à cause d'une biture persistante et une sur dix a avoué avoir manqué un entretien d'embauche à cause des verres descendus la veille.
Une personne sondée sur treize a indiqué avoir raté un premier rendez-vous amoureux à cause d'une biture persistante et une sur dix a avoué avoir manqué un entretien d'embauche à cause des verres descendus la veille.
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Repéré par : Le Vieux Loup


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